« L'effet Millésime » 2019
De fines notes de pollen transpirent d’un parfum de vanille. Son entrée grasse conduit un noyau charnu de fruit jaune. Droit et salin, il est pile au centre de son terroir et le restera longtemps.
« L'effet Millésime » 2018
Auréolé de lumière, le plus réputé des premiers crus de la rive droite tient son range. Agrémenté de fragrances de fleurs d’eaux (lys, nénuphar, aroma...) il est embaumé par la grâce. Dès sa mise en bouche vous ressentirez l’essence d’un Chablis sapide à la longue terminaison iodée. S’il peut déjà être apprécié il sera à son apogée dans trois hivers de cave.
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« L'effet Millésime » 2017
L’or de son liquide recèle un parfum voluptueux de fleurs mauves (glycine, lilas…). Sa nature gourmande part sur une saveur florale proche du pollen de fleurs. Sa persistance saline trace un chemin à vos papilles qui feront « le plein des sens ».
« L'effet Millésime » 2016
Jaune dorée est sa robe. Eclatante comme l’or. Elle est accompagnée d’une fragrance de pamplemousse frais comme juste pressé. Gras en début de bouche elle laisse apparaitre des amers d’élevage nets et franc. Sa persistance le guide vers la cave à moins qu’un homard ne croise sa route.
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« L'effet Millésime » 2015
Il brille comme un lingot d’or devenu liquide. Les boutons floraux lui composent un bouquet entre le floral/végétal de la rose et de la pivoine. Sa saveur sèche serre d’abord la langue avant que le grain salin du sol fasse revenir en boomerang le floral de son nez. Un vin comme un parfum. Qui saura plaire maintenant et sur cinq ans.
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« L'effet Millésime » 2013
Sous les ors du kimméridgien, le nez se pose sur une dalle rocheuse et devra être oxygéné. La prise en bouche est vineuse, pleine avec un boisé fin mais encore marqué qui nécessitera au moins une année de conservation. Vers 2017 il atteindra son apogée.
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« L'effet Millésime » 2012
Ce premier cru à l’or vif respire la pierre brisée et la terre humide. Dès l’attaque il met en place une minéralité qui « croque le sol » et déroule le grain du kimméridgien. Il est long, racé, et déjà prêt à rencontrer un noble homard au four.
« L'effet Millésime » 2010
Habillé d’un or brut il livre de fines effluves entre fleurs d’eau et crème fouettée à la vanille. La matière se livre ronde avec le caractère sec et tendu du chardonnay. C’est dans la saveur finale que la pierre blanche ouvre la voie à la pureté du calcaire. Bâti pour cinq années de garde le mot élégance résume ce vin.
« L'effet Millésime » 2008
Cette cuvée possède la couleur d’un bouton d’or qui illuminera votre été. Le nez attache les aromes d’un doux beurre frais que le boisé vient vanillé. Dès la prise en bouche le premier cru fait sentir sa texture riche de fruits jaunes (abricot, pêche) pour une finale fraîche qui le donne à partager sur un saumon crémé en papillote.
« L'effet Millésime » 2007
Les fragrances d’un iris se mêlent à celle de la pierre chauffées au soleil. Son fruit croque dès l’attaque, révélant un milieu de bouche franc de pêche qui finit salivant. Sa tension naturelle le promet à un bel avenir et à une maturité vers fin 2012. Pourquoi ne pas tout simplement l'accorder à des coquilles Saint Jacques poêlées ?